TJL est une association pour les jeunes de 15 à 25 ans en Alsace.
TJL est une passerelle, un lieu pour y voir plus clair dans ta vie,
- te poser des questions,
- échanger avec un binôme d’écoutants qui est à ta disposition,
- rencontrer un réseau d’amis et de professionnels.
Nous prenons le temps nécessaire pour te comprendre, ouvrir les échanges et trouver avec toi le meilleur chemin à engager.
TJL, un relai de confiance, et pour toi, un accueil et une écoute.*
Tu es LIBRE de venir et de revenir ou pas. Nos rencontres sont GRATUITES.
Un RDV se fixe et nous le confirmons par SMS. Le lieu de rencontre dépend de ta situation géographique en Alsace.
- A Strasbourg, notre bureau est au 6, rue de l’Arc-en-Ciel tout près de la place Saint-Etienne.
- A Mulhouse, c’est 1, rue de la Wanne, derrière la gare.
- Ou ailleurs, on décide ensemble !
Les échanges et ce que tu nous confies sont CONFIDENTIELS. Une seule raison de devoir rompre ce secret, c’est que nous nous rendions compte que ce que tu nous confies te met en danger physiquement, psychologiquement ou moralement. Dans ce cas-là notre réaction est obligatoire, et nous agissons dans le cadre de la loi sur l’Enfance en danger.**
Nous pouvons alors déclarer ta situation préoccupante aux services compétents.
L’équipe des écoutants de l’association TJL
* Tout jeune a la liberté d’opinion d’expression, de pensée, de conscience, de religion et d’association. CIDE (Convention Internationale des Droits de l’Enfant).
**L’esprit de la loi du 5 mars 2007 portant sur la réforme de la protection de l’enfance va dans le sens de la prévention « en améliorant le dispositif d’alerte et d’évaluation des risques de danger en améliorant et diversifiant les modes d’intervention pour mieux répondre aux besoins de l’enfant ou de l’adolescent. TJL s’inscrit dans le respect de l’application de cette loi.
En novembre 2013, Catherine DOLTO-TOLITCH disait sur France-Info dans le cadre de l’enquête sur le mal-être des jeunes :
« Aujourd’hui il faut des structures légères pour aider les jeunes quand ils en ont besoin. La plupart du temps nos structures d’aide sont trop lourdes et une fois qu’elle sont en route, elles arrivent souvent après coup et beaucoup trop lourdement que le besoin ne serait. La France a une grande tolérance au gâchis ! »